Top départ de la campagne pour briguer la tête du Comité olympique français (CNOSF)

Dans un mois, le Comité national olympique et sportif français (CNOSF) aura peut-être une femme à sa tête, une révolution dans le sport français. En attendant, ils sont deux hommes et deux femmes à briguer sa présidence, à trois ans des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024.
Jeudi soir, au siège du CNOSF, les quatre candidats, ont présenté leur programme aux représentants des fédérations qui ont été renouvelées cette année. Ce sont celles-ci qui voteront, à proportion de leur poids, lors d’une assemblée générale le 29 juin prochain.
Elle a été adoubée par le président sortant Denis Masseglia, qui finit son troisième mandat. Donnée favorite, cette ancienne footballeuse a estimé auprès de la presse que cela « se joue jusqu’à la dernière minute, on peut toujours se prendre un but à la 95e ». 
Par ailleurs, il revendique la présidence de l’Agence nationale du sport (ANS) actuellement occupée par Michel Cadot, délégué interministériel aux Jeux olympiques et paralympiques 2024, et compte faire un « audit financier » à son arrivée. 
Elle revendique, sous la bannière « nouslesport2021 », une « vision politique, pas au sens partisan du terme » car « le sport c’est la vie de la cité, du citoyen ». « Le sport n’est plus pris à sa juste valeur depuis des décennies », a-t-elle ajoutée, affirmant qu’elle exigereait « un budget à 1% du bugdet de la Nation ». 
dec/fmd

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